08:06 le 30-01-2008 : La blague de Seb du mercredi !
Dans un centre d’essais aéronautiques, les techniciens sont dans l’attente d’un décollage. L’avion roule sur la piste, accélère, le vent siffle sur le fuselage, et là , le pépin : une aile se déchire et vole en éclats. Les techniciens se font engueuler par les financiers. Faut dire que c’est le 3ème avion qui subit le même sort. Même déchirure, même endroit… Alors qu’un des techniciens et en train de pisser, un balayeur s’approche :
- Voyez-vous monsieur, vot’ problème, sans vouloir vous offenser, est plutôt simple a résoudre.
- …??? Pardon ?
- Il suffirait à mon avis de faire une ligne de trous, avec une perceuse, dans la largeur de l’aile, à l’endroit de la cassure. Simple n’est-ce pas ?
- Vous vous foutez pas un peu de ma gueule, par hasard ?
- Non non…je vous assure, c’est la solution !
Le technicien sort en haussant les épaules.
Mais la nuit porte conseil. Il n’arrive pas a dormir et repense à ce que lui a dit le balayeur. évidement, c’est stupide…mais d’un autre coté, ils ont tout essayé…ils sont à cours d’idée… alors finalement, pourquoi pas essayer ? Dès le lendemain, l’équipe est au travail sur le nouveau prototype, ils percent une belle rangée de trous juste là ou l’aile a une faiblesse. Le jour du test arrive. L’avion roule sur la piste, accélère, le vent siffle sur le fuselage, et l’oiseau de fer s’envole, fait des vrilles, des loopings, des chandelles puis revient se poser avec précision sur la piste.
Sous les applaudissements général, le technicien cherche le balayeur afin de le remercier :
- Cher ami, c’est simplement fabuleux. Mais dites-moi comment vous, un simple agent de service, avez vous pu résoudre le problème qui tenait en échec une équipe complète de technicien ?
- Ben voyez- vous, il suffit d’être observateur. Ainsi, moi par exemple, cela fait 30 ans que je nettoie les chiottes…et bien j’ai jamais vu le PQ se déchirer sur les pointillés !




. Mon entrainement ne m’a donc permis que de passer de grosses branlées (j’ai déjà pris 13-2) à de courtes défaites et je reste avec un encours de 20-26-5 (soit 20 victoires, 26 défaites et 5 défaites aux prolongations) et un niveau estimé autour de 200, alors que la moyenne est de 498 et le maximum de 6000 !! Il y a du donc encore du travail …
. Il y a d’abord les parties cauchemardesques où je domine de bout en bout, sans marquer, et où je me fait crucifier à cinquantes secondes de la fin du match par un tir assasin, un parmit les cinq que mon adversaire a décoché de la partie …
. Un exemple en image :
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. Et puis cette journée n’était finalement que peu de chose comparé au samedi et à son programme titanesque : réceptionner le lave-vaisselle, refaire un peu de plomberie pour installer une arrivée d’eau et une évacuation d’eau usée, installer le lave-vaisselle, préparer les trous pour la bar, prendre les mesures pour le bar, viser les huit équerres (x3 vis) dans les planches de chêne, préparer quelques kilos de plâtre pour le sceller dans le mur et enfin le poser (il a bien fallu s’y mettre à quatre ! Encore merci Seb !). Boulot presque non-stop de 14h à 22h30 pour faire tout cela à trois avec Céline et mon père, puis à quatre avec l’arrivé de Seb sur les coups de 17h. En même temps, il n’y a pas de miracle ça ne va pas se faire tout seul
. Déjà presque un mois de glande et le retour au travail va être d’autant plus difficile …